Marblehead, notre histoire

Comme chaque personne, une ville à une histoire et celle de Marblehead est bien particulière. De nombreux écrivains l'ont décrites comme étant « unique, pittoresque, juré, distinctif, pixelisés, fascinante qui est Marblehead, une ville fait d'amour avec la liberté et individualisme farouche. Le peuple est de l'histoire, faite de ruelles tortueuses et de maisons irrégulières, ses coutumes représentent l'humour défiant la conformité. Les colons irréligieux, les pécheurs aventureux, les patriotes zélés, les corsaires audacieux, les capitaines clippers de navires et les marchands ambulants de poissons d'antan, sont tous imbus de leur ville avec un esprit aussi robuste que la péninsule rocheuse elle-même ». Voilà, ce que les humains connaissent de l'histoire, c'est de cette manière qu'elle apparaît dans les livres, mais aujourd'hui, il est temps d'expliquer ce qui se cache entre les lignes, et surtout connaitre les véritables raisons de la création de cette ville.

Bien avant que les premiers colons européens soient arrivés dans ce qui allait devenir Marblehead, la région était habitée par la tribu Naumkeag, un groupe d'Amérindiens appartenant à la nation algonquine. Dirigé par le « Grand Sachem » Nanepashemet. Les premiers colons non-autochtones américains étaient des sujets britanniques, cette ville faisait partie de Salem, mais ceux qui voulaient échapper à la discipline stricte des puritains intensément religieux, demandèrent asile auprès des amérindiens. Le grand Sachem accepta et ils ont vécu paisiblement, sans se douter que les deux hommes à la tête du petit groupe de colons étaient un Sorcier et un Moroï. L'un craignait les idées trop religieuses des puritains, tandis que l'autre fuyait les principes des grandes familles royales vampires et avait trouver refuge au nouveau-monde.

Une épidémie de 1615-1619, considérée comme la variole, a dévasté les Naumkeags. On croit que quatre-vingts dix pourcent de la tribu a succombé à la maladie. L'épidémie ne se propage pas aux quelques colons européens, qui avaient développé une immunité et les Moroïs rebelles ne pouvaient succomber à ce genre de virus. Une autre épidémie de variole en 1633 a donné lieu à une nouvelle baisse de la population amérindienne. N'ayant plus de Grand Sachem, le 12 décembre 1648, les deux hommes arrivèrent à obtenir son indépendance, ne faisant plus partie de Salem. Marblehead devenu une ville a part entière. Mais comme les hommes, le cœur des Moroïs est d'autant plus corruptible, le vieux chef Moroï décida de trahir le fils de l'homme qui lui avait permis de fonder cette ville, l'arrêtant, il l'envoya à Salem pour le grand procès de Sorcière en 1692. Ce fut la grande division entre les Moroïs et les Sorciers de la ville.

Le fondateur de la ville décida de supprimer toutes traces de son partenaire et de son fils, pour les êtres surnaturels et les Humains, il restait le seul et unique fondateur, celui qui fondait tous ses idéaux sur le libre-arbitre. Les Sorciers qui s'installèrent sur une île de Marblehead rendu invisible aux yeux qui n'avaient pas le don, se firent discret, eux connaissaient la vérité, mais pour leur propre survie, ils allaient devoir faire croire à leurs disparitions. La ville changea et prospéra comme un important port de pêche avec une abondance de poissons sur les côtes. Ils participèrent à la guerre d'indépendance, à ce moment-là, Dhampirs et Moroïs s'étaient déjà bien installées aux pouvoirs de la ville et s'était dans leur gène de vouloir se battre pour la liberté.

À présent, la ville compte 19 808 habitants de toutes races, le maire de Marblehead reste toujours un descendant du fondateur de la ville et à su garder le sang pur de la lignée, donc rester Moroï. Le rôle de chef de la police, était depuis le début 1950 attribué à un Dhampir. Le maire actuel se disait qu'il était temps de remettre que des Moroïs et Dhampirs, à la tête de la ville, car au fil des années, des Humains ont commencés à poser problème, malgré le travail acharné des Alchimistes.